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Les 2 bouquineuses ont aimé
20 décembre 2014

"Sans laisser d'adresse" de Harlan Coben * * * (Ed. Pocket, 2011)

adresseC'est un bon moment de "lecture - détente" ce roman policier ! L'intrigue est bien menée, le lecteur n'a aucune envie de quitter son bouquin, l'important étant de comprendre qui, quand, comment et où ! Des thèmes intéressants sont abordés, qui, même s'ils ne sont pas très développés, donnent à réfléchir.
L'histoire est une enquête de Myron Bolitar, ancien basketteur de haut niveau, devenu agent sportif, héros récurrent de H. Coben ; une de ses anciennes maîtresses, Terese Collins, l'appelle de Paris pour qu'il vienne à son secours. L'ex-mari de Terese, Rick, un journaliste d'investigation, vient d'être retrouvé assassiné ; quand Myron débarque à Paris, il apprend que sur la scène de crime, on a trouvé en plus de celui de Rick, du sang dont l'analyse ADN montre que c'est celui de sa fille. Mais Rick n'avait qu'une fille, Miriam, qu'il avait eu avec Terese, et cette fille est morte dans un accident de voiture il y a dix ans...
A l'aide de ses collaboratrices - anciennes catcheuses - et de son ami Win, Myron Bolitar va tout faire pour aider Terese ; même s'il doit le payer très cher ! Entre une promenade sur le toit du 36 quai des Orfèvres dont un des inspecteurs s'appelle Berléand, le jet luxueux de Win, la suite d'un grand hôtel de Londres, un "site noir"  et son bureau de New York, notre enquêteur va affronter toute une série d'épreuves pour découvrir enfin la vérité. L'auteur aborde les thèmes problématiques du droit à la torture quand des milliers de vies sont en jeu, de la peur de l'islamisme radical aux USA et dans le monde, du lien mère - enfant, du droit à faire justice soi-même et de la génétique des maladies graves.
Un thriller intéressant et très prenant, avec humour et clins d'oeil.

Premières phrases : "Tu ne connais pas son secret, m'a dit Win. Pourquoi, je devrais ? Win a haussé les épaules. C'est grave ? ai-je demandé. Très. Alors j'aime mieux ne pas savoir. Deux jours avant que je ne découvre le secret qu'elle gardait enfoui en elle depuis dix ans - un secret à priori personnel qui allait non seulement nous démolir tous les deux, mais changer à jamais la face du monde -, Terese Collins m'avait téléphoné à cinq heures du matin, me propulsant d'un rêve quasi érotique dans un autre. Pour me déclarer de but en blanc : Viens à Paris."

 

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